vendredi 5 septembre 2014

Petites anecdotes savoureuses sur Kyoto

Le 17 mai 2014
Etsuko HATANAKA

Introduction

A quoi pensez-vous quand vous entendez le nom de la ville de Kyoto?
Kyoto est mondialement connue en tant qu'ancienne capitale du Japon de 794 à 1868. Située au milieu de la nature, elle a beaucoup de monuments historiques et de patrimoines culturels. La culture culinaire japonaise, pleine d'événements et de cérémonies traditionnels, le thé vert maccha (抹茶), la pâtisserie traditionnelle japonaise wagashi (和菓子), les geisha (芸者), le Palais Impérial ou encore la rivière Kamogawa (鴨川), il y a beaucoup de mots qui nous viennent à l'esprit lorsque nous pensons à Kyoto.
Ce rapport est écrit pour vous conter des petites histoires de cette petite ville qu’est Kyoto.

Le Rangaku : les études hollandaises

Par Romaric Roynette

Le Rangaku désigne l’ensemble des connaissances présentes au Japon développées à partir des contacts avec les néerlandais de l’île de Dejima, à Nagasaki, pendant la période d’Edo et du Sakoku.

Grâce au Rangaku, le Japon a évité un isolement technologique total. Il a pu suivre, au moins partiellement, l’évolution des savoirs qui se développaient à ce moment là très rapidement en Europe.

Le niveau scientifique atteint par le Japon à la fin d’Edo lui permet ensuite d’assimiler très rapidement l’immense flux d’informations et de techniques nouvelles auquel il a accès à partir de 1854, date de la fin du Sakoku.

Dejima : porte du Japon sur le monde à l’époque d’Edo (1600-1868)


Par Romaric Roynette

Introduction

Dejima, « l’île extérieur », est une île artificielle située à Nagasaki, construite par ordre du Shogun Tokugawa en 1636 pour le logement des étrangers autorisés à faire du commerce entre le Japon et le reste du monde.
L’île est un comptoir commercial, c'est-à-dire un port doté d’installations portuaires, d’entrepôts et servant de résidence à une communauté étrangère de commençants et d’administrateurs.
L’île est au départ habitée par les portugais mais après leur expulsion du Japon, elle accueille une petite population de néerlandais. Ils sont les seuls européens autorisés à résider au Japon après la fermeture volontaire  du pays au reste du monde en 1641 (Sakoku).
Enfermés à Dejima, ayant interdiction de circuler librement dans le pays, les néerlandais sont cependant restés pendant 218 ans sur cette étroite bande de terre d’environ 1 hectare. Les contraintes de la vie quotidienne étaient largement compensées par des profits importants.  Ils jouissaient en effet de l’exclusivité sur le commerce internationale, les japonais eux-mêmes n’ayant pas le droit de commercer avec l’étranger. Ces derniers, malgré le Sakoku, purent grâce à Dejima, se procurer certains produits qu’ils n’avaient pas mais aussi garder un contact avec le monde et obtenir des informations de toutes natures.

Le Gangôji

                                                     
                                                 Par Kimitaka Kubo

Gokurakubô(極楽坊)au temple Gangôji est classé comme trésor national.

Intropduction
   On sait très bien que le premier temple bouddhiste construit au Japon, (de 588 au 596) est Hôkôji(法興寺)qui signifie le temple d’où la loi du bouddhisme prospère、ou bien Asukadera(飛鳥寺)parce que le site du temple est à Asuka, mais à la suite du transfert de la capitale, d’Asuka à  Heijô-kyô(平城京、à présent Nara)en 710, la cour impériale decide le transfert des bâtiments du temple à Heijô-kyo, si bien que les constructions telles que piliers, poutres, planches, tuiles, pierres de base etc, sont démontées, puis transportées et reconstruites dans la nouvelle capitale. La reconstruction est achevée en 718 et ce temple est renommé Gangôji(元興寺)[qui signifie le temple d’où la loi du bouddhisme prospère à l’origine], et est mis sous le contrôle du gouverment impérial.

Uji et le Byoudouin

UJI ET LE  BYÔDÔ-IN

 Mayuri Sakaguchi

Introduction
Une grande cérémonie religieuse d’’inauguration a eu lieu à l’occasion de la rénovation du Hôô-dô après un et demi ans de travaux, le 2 avril cette année.
C’était une grande réparation, 56 ans après la précédente. On a changé 52 000 tuiles par des nouvelles et on a coloré les piliers et les portes comme à l’original, en couleur de brun rougeâtre. On a réparé les statues de phénix .  Cela a coûté 450 000 000 ¥. Il y a de quoi aller voir Hôô-dô!
Avant d’y aller cela serait mieux d’apprendre sur le Byôdô-in, le Hôô-dô et la ville de Uji, là où se trouvent le temple.

Le Rakugo : l'art du conte oral japonais

Arts du conte oral japonais
Taketo IKEUCHI

1.    Introduction
Au Japon, il y a plusieurs sortes d’arts et de traditions de conte oral depuis très longtemps.

Dans cette étude, on présente l’art du conte raconté par un seul conteur.
Il s’agit de « Rôkyoku 浪曲 », « Kôdan講談 » et « Rakugo落語 ».
Ce sont des arts de conte traditionnel transmis de bouche à oreilles.

Urameshiya : histoire de revenants à Kyoto

Urameshiya
Histoires de revenants à Kyoto

Taketo IKEUCHI

1.    Intruduction
Les Japonais aiment souvent raconter des histoires de fantômes en été à l’occasion de réunions, de soirées, ou de voyages organisés par l’école par exemple. On croit qu’elles permettent de se refroidir pendant l’été chaud et humide du Japon…

Dans cette étude, on présente quelques contes de revenants à Kyoto.

Nous espérons que cette étude vous permettra de rester plus froid pendant l’ été caniculaire !

Sortie du 25 juin 2014 à Fushimi




Dans le cadre du cours « la culture japonaise en français » de l’institut français de Kyôto, dimanche 29 juin, on est sorti dans la ville typique pour la fabrication du Saké à Kyôto ! Il s’agit du quartier Fushimi  se situant au sud de la ville de Kyôto.